Les fils de Magnus font tous partie d'un culte parmi plusieurs existants. Un sorcier particulièrement puissant et influent peut créer son propre culte et servir les desseins du Dieu du Changement et suivre sa propre voie, à partir du moment où ses intérêts sont communs à ceux des Thousand Sons. Nous parlerons ici d'un de ces cultes et de son seigneur.
Le Pince démon D'ronos, à accédé au titre de Seigneur suprême du Culte du Temps après avoir défait en combat singulier le Seigneur des arts noirs Aarxès, sur la planète des sorciers. Les témoins de cet affrontement racontent qu' Aarxès se serait effondré subitement alors qu'il avait le dessus sur D'ronos, jeune sorcier prometteur à cette époque. D'ronos avait réussi à apposer ses mains sur le crane cornu du Seigneur des arts noirs et la peau du vieux sorcier aurait entièrement flétri en quelques instants, comme si le temps avait eu raison de lui en quelques secondes. Le corps complément asséché d'Aarxès se serait dispersé en cendres dont les particules se seraient envolées avec le vent, du haut de la tour des sorciers.
Depuis toujours, le temps passionnait le jeune érudit et il s'était fixé pour objectif de le maîtriser à sa guise. Plus les siècles passaient et plus les guerriers de son culte perçaient les mystères du temps et arrivaient à en manipuler les fils. Jusqu'à maîtriser la téléportation, ouvrir des failles temporelles ou encore arrêter le temps, l'espace de quelques secondes.
Être témoin d'une bataille impliquant des sorciers du Culte du Temps est très déconcertant. La logique est bafouée et les repères temporels complètement remodelés.
Tzeentch porte un regarde amusé sur D'ronos, qu'il a promu au rang de Prince Démon en signe de reconnaissance. Il se pourrait qu'il ai un rôle important à jouer sur l'échiquier du Grand Conspirateur et ses pas l'ont guidé tout dernièrement sur Phyrrus où l'Empyréan est particulièrement fort en ce moment.
Réponses
Une nouvelle victime pour les prédateurs de l'imperium 😈
"Croire et Oser, Il vaut mieux avoir une méthode mauvaise plutôt que de n'en avoir aucune." Charles de Gaulle.