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[KillTeam] Présentations des KillTeams
Alors désolé de ne ne pas avoir pu poster plus tôt, j'ai été énormément pris ces dernières semaines. De plus, avec les vacances, certains vendredis de notre association ont "sauté", ce que vous comprendrez.
Je posterai ici les présentations de nos Kill Teams, certains briefings de parties, et quelques photos!
LE SIGNE JAUNE
Les grasses mouches bourdonnent avec la nonchalance des généreux. Se reposent avec bienveillance dans les plaies d'un oublié. L'honorant de leurs précieuses larves - leurs enfants - avant de reprendre leur chemin, bourdonnant avec la nonchalance des généreux.
Les larves grossissent, grouillent, entraînant ainsi l'oublié dans une dernière danse, auréolée des gaz de sa putrescence.
Alors que l'oublié leur fait don des derniers vestiges de sa chair, les ailes poussent, les larves deviennent mouches et prennent leur envol dans ce bourdonnement nonchalant des généreux.
Leur viande grasse offerte aux acteurs de l'équation de l'entropie.
Mais toujours en quête d'oubliés à honorer.
La mort enfante la vie.
La vie enfante la mort.
La mort enfante la vie.
La vie...
Le cycle de l'entropie. Une spirale sans fin.
Le Signe Jaune.
Ces guerriers viennent là où la guerre édifie ses inconcevables charniers.
L'horreur qu'ils inspirent appelle à l’héroïsme.
Mais les héros - comme les oubliés - tombent face à ces implacables guerriers.
Les tombés se relèvent, formant des hordes infâmes et claudicantes, en quête des charniers de la guerre pour lesquels elles hurlent leur joyeux et impatient appétit.
Ces abominations appellent à l’héroïsme.
Mais toujours, les héros - et les oubliés - tombent.
Et toujours, les héros - et les oubliés - se relèvent.
La guerre, elle, édifie ses charniers.
Ces guerriers rodent non loin de ces nouveaux charniers.
L'horreur qu'ils inspirent appelle à l’héroïsme.
Mais les héros...
L'horreur enfante l’héroïsme.
L’héroïsme enfante l'horreur.
L'horreur enfante l’héroïsme
L’héroïsme...
Le cycle de l'entropie. Une spirale sans fin.
Le Signe Jaune.
Ils sont les guerriers du Signe Jaune.
Et dans leur sillage, les grasses mouches bourdonnent avec la nonchalance des généreux. Se reposent avec bienveillance dans les plaies des oubliés...
Pour le Chaos, les crimes de guerre contre l'Humanité sont considérés comme particulièrement prestigieux. Les fiers combattants qui commettent ces infamies sont les membres d'une bande armée qui sévit dans le système de Cadia et ses alentours. Voici leur histoire.
- On doit encore en buter combien, Maître ?
Celui qui pose cette question, c'est le gros musclé adossé au mur dans le fond de la salle. Enfin, ce qui "était" une salle devrais-je dire. Puisqu'on a démolit ce bâtiment qui abritait des réfugiés. Et celui à qui il s'adresse c'est notre chef, notre chef temporaire. Même si le sous-homme l'appelle "maître", il appelle n'importe qui d'autre "maître", même son lance-flamme, qu'il appelle plutôt "maître Johnny", rapport à des légendes qui se raconteraient sur Terra, allez savoir.
Comme nous, Romano Spritz, notre leader, est condamné à l'exil. La légion ne veut plus de nous mais nous avons une chance de racheter notre couardise, et de regagner la faveur des Dieux Noirs. Même si jusqu'à présent, nous n'avons affronté que des civils insignifiants, ainsi que les conscrits censés les protéger.
- On en tuera tant que les Dieux ne se tourneront pas vers nous !
- Ils ne se tourneront pas vers nous tant que l'on s'occupera de la vermine. Les réfugiés sont un bon moyen de se ravitailler, mais nous devrions détruire de vraies cibles, des cibles que les Dieux Sombres, et Eliphas seraient ravis de voir disparaître. Peut-être alors regagnerons nous leurs faveurs.
Cela provenait d'une silhouette jusqu'ici tapie dans l'ombre. L'on pouvait entre-apercevoir son visage illuminé par intermittence, dans un rythme qui rappelle les battements d'un coeur, par une sombre lumière rouge émanant de son fusil plasma.
A ces paroles, Romano marqua un temps d'arrêt, avant qu'un léger rictus ne se dessine sur son visage. Un rictus malsain, celui d'un démon qui s'apprêtait à faire subir mille souffrances à sa créature, sa chose. C'est pour ça qu'on le suit, il aime tourmenter, et par dessus tout, il sait tourmenter.
Il ramassa son marteau thunder volé à un capitaine d'escadron terminators space wolf (il aime dire que c'était du menu fretin.(ah oui c'est aussi pour ça qu'on le considère comme notre chef accessoirement)) et déclara solennelement:
- Dans ce cas rassemblez les au... Eh toi là, lâche cette jambe, j'l'avais réservée !
Le pauvre bougre qui venait juste de débarquer dans la salle ne savait pas dans quoi il s'était embarqué.
- Mais.. Vous m'aviez dit qu'on pouvait se serv...
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que le marteau thunder avait répandu une partie de sa cervelle sur les murs pour former une étoile du Chaos et l'autre partie gicla en direction des cieux. C'est pour ça que c'est notre chef.
- Je disais donc. Rassemblez les gars, nous avons quelques iniquités de brigandages intenses à accomplir pour le dessein du plan galactico-cosmique que je viens de mettre au point !
Le gros musclé au lance-flamme s'approcha de moi et me demanda:
-C'est maintenant que je dois dire " c'est pas faux" ?
Eh oui, notre destin dépend d'un gars pas très content qui sait galvaniser ses troupes avec un discours digne des plus grandes batailles de l'Histoire.
Je posterai ici les présentations de nos Kill Teams, certains briefings de parties, et quelques photos!
Présentations de Kill Teams:
Le Signe Jaune - Death Guard -
Joueur: Carcosa
Joueur: Carcosa
LE SIGNE JAUNE
Les grasses mouches bourdonnent avec la nonchalance des généreux. Se reposent avec bienveillance dans les plaies d'un oublié. L'honorant de leurs précieuses larves - leurs enfants - avant de reprendre leur chemin, bourdonnant avec la nonchalance des généreux.
Les larves grossissent, grouillent, entraînant ainsi l'oublié dans une dernière danse, auréolée des gaz de sa putrescence.
Alors que l'oublié leur fait don des derniers vestiges de sa chair, les ailes poussent, les larves deviennent mouches et prennent leur envol dans ce bourdonnement nonchalant des généreux.
Leur viande grasse offerte aux acteurs de l'équation de l'entropie.
Mais toujours en quête d'oubliés à honorer.
La mort enfante la vie.
La vie enfante la mort.
La mort enfante la vie.
La vie...
Le cycle de l'entropie. Une spirale sans fin.
Le Signe Jaune.
Ces guerriers viennent là où la guerre édifie ses inconcevables charniers.
L'horreur qu'ils inspirent appelle à l’héroïsme.
Mais les héros - comme les oubliés - tombent face à ces implacables guerriers.
Les tombés se relèvent, formant des hordes infâmes et claudicantes, en quête des charniers de la guerre pour lesquels elles hurlent leur joyeux et impatient appétit.
Ces abominations appellent à l’héroïsme.
Mais toujours, les héros - et les oubliés - tombent.
Et toujours, les héros - et les oubliés - se relèvent.
La guerre, elle, édifie ses charniers.
Ces guerriers rodent non loin de ces nouveaux charniers.
L'horreur qu'ils inspirent appelle à l’héroïsme.
Mais les héros...
L'horreur enfante l’héroïsme.
L’héroïsme enfante l'horreur.
L'horreur enfante l’héroïsme
L’héroïsme...
Le cycle de l'entropie. Une spirale sans fin.
Le Signe Jaune.
Ils sont les guerriers du Signe Jaune.
Et dans leur sillage, les grasses mouches bourdonnent avec la nonchalance des généreux. Se reposent avec bienveillance dans les plaies des oubliés...
Les Dégénérés - Black Legion
Joueur: Dimitri
Joueur: Dimitri
Pour le Chaos, les crimes de guerre contre l'Humanité sont considérés comme particulièrement prestigieux. Les fiers combattants qui commettent ces infamies sont les membres d'une bande armée qui sévit dans le système de Cadia et ses alentours. Voici leur histoire.
- On doit encore en buter combien, Maître ?
Celui qui pose cette question, c'est le gros musclé adossé au mur dans le fond de la salle. Enfin, ce qui "était" une salle devrais-je dire. Puisqu'on a démolit ce bâtiment qui abritait des réfugiés. Et celui à qui il s'adresse c'est notre chef, notre chef temporaire. Même si le sous-homme l'appelle "maître", il appelle n'importe qui d'autre "maître", même son lance-flamme, qu'il appelle plutôt "maître Johnny", rapport à des légendes qui se raconteraient sur Terra, allez savoir.
Comme nous, Romano Spritz, notre leader, est condamné à l'exil. La légion ne veut plus de nous mais nous avons une chance de racheter notre couardise, et de regagner la faveur des Dieux Noirs. Même si jusqu'à présent, nous n'avons affronté que des civils insignifiants, ainsi que les conscrits censés les protéger.
- On en tuera tant que les Dieux ne se tourneront pas vers nous !
- Ils ne se tourneront pas vers nous tant que l'on s'occupera de la vermine. Les réfugiés sont un bon moyen de se ravitailler, mais nous devrions détruire de vraies cibles, des cibles que les Dieux Sombres, et Eliphas seraient ravis de voir disparaître. Peut-être alors regagnerons nous leurs faveurs.
Cela provenait d'une silhouette jusqu'ici tapie dans l'ombre. L'on pouvait entre-apercevoir son visage illuminé par intermittence, dans un rythme qui rappelle les battements d'un coeur, par une sombre lumière rouge émanant de son fusil plasma.
A ces paroles, Romano marqua un temps d'arrêt, avant qu'un léger rictus ne se dessine sur son visage. Un rictus malsain, celui d'un démon qui s'apprêtait à faire subir mille souffrances à sa créature, sa chose. C'est pour ça qu'on le suit, il aime tourmenter, et par dessus tout, il sait tourmenter.
Il ramassa son marteau thunder volé à un capitaine d'escadron terminators space wolf (il aime dire que c'était du menu fretin.(ah oui c'est aussi pour ça qu'on le considère comme notre chef accessoirement)) et déclara solennelement:
- Dans ce cas rassemblez les au... Eh toi là, lâche cette jambe, j'l'avais réservée !
Le pauvre bougre qui venait juste de débarquer dans la salle ne savait pas dans quoi il s'était embarqué.
- Mais.. Vous m'aviez dit qu'on pouvait se serv...
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que le marteau thunder avait répandu une partie de sa cervelle sur les murs pour former une étoile du Chaos et l'autre partie gicla en direction des cieux. C'est pour ça que c'est notre chef.
- Je disais donc. Rassemblez les gars, nous avons quelques iniquités de brigandages intenses à accomplir pour le dessein du plan galactico-cosmique que je viens de mettre au point !
Le gros musclé au lance-flamme s'approcha de moi et me demanda:
-C'est maintenant que je dois dire " c'est pas faux" ?
Eh oui, notre destin dépend d'un gars pas très content qui sait galvaniser ses troupes avec un discours digne des plus grandes batailles de l'Histoire.
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Réponses
Joueur: Gino
La Kill team de Dark angels du sergent Jharr, accompagné depuis plusieurs mois déjà, une expédition de l'adeptus mechanicus, mené par le Tech priest Ionis. Ce dernier était à la recherche d'artefact du moyen age technologique, dans le secteur de Kertra, une planète située non loin du monde forge Ludix.
Dès le début des fouilles dans les cryptes souterraines, les protocoles de sécurité alors en veille depuis des siècles furent réactivés et mirent à mal le bon déroulement des activités. Du simple drone, à la tourelle de défense, en passant par le robot de combat blindé, les skitarri qui accompagné le tech priest dans ses investigations furent bien vite dépassés. Ils avaient besoin d'aide.
Le sergent Jharr et ses hommes n'était pas spécialement entraîné pour se genre d'opération en milieu fermé, mais leur maîtrise d'infiltration et de destruction de cible lourde lors de missions précédente faisait d'eux les parfaits candidat pour accompagner et mettre hors de service les colossaux gardiens robotiques qui gardait les lieux.
Avec l'aide de la kill team, l'exploration se déroulait à bon rythme, et même si, le visage métallique du techpriest semblait ne dégager aucune émotion, les nombreuses diodes et ampoules qui pullulé sur sa carcasse voûté semblaient s'illuminer de joie à chaque nouvelle découverte. Cela lui valus bien des surnoms par les membres de l'équipe.
Beaucoup de tunnels, de salles et autres souterrain restaient encore à découvrir et c'est ça qui préoccupé le sergent, car brusquement l'ordre de quitté la zone de recherche fut reçu et une demande de redéploiement sur la lune de phyrus 25 envoyé. Le sergent Jharr savait à quel point la main mise sur les vestiges d'un âge oublié était chère au culte mechanicus et les voir brusquement abandonner les fouilles, charger les caisses et rembarquer dans leurs vaisseaux ne présagé rien de bon.
Le sergent reçu lui aussi de nouvelles directives avec les coordonnées du lieu du nouveau déploiement sur Phyrus 25. Seulement le flou subsisté, dans le rapport la nature exacte de l'ennemie n'avait pu être identifié, ou alors toutes les races de la galaxie avaient envoyés des troupes au même endroit de l'univers et au même moment ! Le sergent était perplexe. En tout cas une chose était sure, ses hommes et lui, devront une fois de plus exterminer les ennemies de l'empereur.
Mes frères ! Préparez les Bolters lourd ! Vérifiez vos fusils plasma et chargez les roquettes ! Car nous allons avoir de la vermine à éradiquer !
Joueur: Vincent St
Je me réveille une nouvelle fois dans ce nouveau territoire impériale, comme chaque jour depuis cette tragédie, je me lève, prend un frugal petit-déjeuner et pars prendre mon quart.
Tous les soldats de mon unité me nomme « Le miraculé », un surnom que je déteste.
Il y a quelque mois, mon vaisseau a eu la malchance de croiser la route d’une « vrille » ou « flotte ruche », je revois encore le visage étiré de terreur des psykers qui sortent de la salle dont je montais la garde. « - Ils arrivent » crient-ils, « - ils arrivent, ils arrivent », sans cesse, ils criaient. L’un d’eux moins fou et terrorisé que les autres me dit ces mots : « - Nous ne sommes que de la biomasse ! ».
Moins de deux jours plus tard la « vrille » nous a attaqué et tous ont péri. Je revois leurs corps coupés en deux, démembrés et sans vie, se faire avaler par de petites choses avec un nombre incalculable de dents.
Ce qui me hante le plus la nuit, c’est la vue de ce Lictor, je le revois sans cesse me fixer de ses yeux jaunes avec ses tentacules me caresser le visage et d’un coup, une horrible douleur me traverser le corps. A mon réveil, une troupe de marines était là pour m’évacuer de ce croiseur dont j’été le seul survivant … « Le miraculé ». Tout-à-coup, un homme en robe me fonça dedans en criant, « - Ils arrivent, ils arrivent, ils arrii … ». Plus un mot, du sang coulait de ses oreilles et de son nez. Je savais ce que cela voulait dire.
Un mal de crâne me submergea tout-à-coup, une voix grave et serpentiforme.
- Merci de nous avoir montré le chemin …
- Comment, de quoi parlez-vous ?
- Le chemin vers notre biomasse
Je venais de comprendre, je n’étais pas un « miraculé » mais une balise et cette douleur …
Un Dévoreur m’ouvrit le ventre et j’entendis ces dernier mot … « - tu seras le premier … ».
"Croire et Oser, Il vaut mieux avoir une méthode mauvaise plutôt que de n'en avoir aucune." Charles de Gaulle.